15.10.05

pardon messieurs les mots.

Ai rencontré Hubert à la croisée des sofas hétérogènes:
rencontre-bouffée-d'air comme peu trop souvent theses days.
Merci cher chevelu. (me lis-tu, je l'espère)
Puis ça sent l'humain dehors, j'aime bien.
Envie d'hurler pourtant, de joie ou d'horreur,
je n'sais trop encore.
(J'suis comme la femme helpless du Cuirassé Potemkine)
Envie de lire des poèmes,
alors demain matin
puisque le sommeil m'en veut ce soir.
Et elle qui shine comme jamais
son énergie qui transcende,
que d'bien.
Sourire à des riens, c'est une merveille intemporelle,
mensongère qui sait.
Mais ça,
c'est c'que m'fond les trips de bus et d'métro
en solitaire.